Calculer l’empreinte carbone des gaz anesthésiques de nos blocs opératoires
Les gaz médicaux utilisés en anesthésie inhalée (AI) sont de puissants gaz à effet de serre (GES) et contribuent fortement au réchauffement climatique. Faiblement métabolisés par l’homme (<5%), ces gaz sont rejetés directement dans l’atmosphère de manière inchangée et occupent une place significative (jusqu'à 30% en fonction du nombre de blocs opératoires) dans les « émissions carbone » attribuables au secteur de la santé. Des solutions existent pour réduire les émissions de ces gaz (voir notre livre blanc sur les gaz anesthésiants)